top of page
CHLOE SHARROCK
![]() | ![]() Central DistrictLe vaste projet urbain de reconstruction du centre-ville lancé après la guerre est confié à la société Solidere, n'appartenant à nul autre que Rafic Hariri lui-même. Entièrement tourné vers les finances, le tourisme et les affaires, le projet favorise grandement les investissements privés et cherche avant tout la rentabilité et le profit des investisseurs, prenant exemple sur de grandes opérations déjà menées dans des villes occidentales telles que Londre ou Toronto. | ![]() Ain El MraisehDans le centre ville, de nombreux immeubles anciens ont été abandonnés, et attendent d'être détruits, tout en côtoyant les nouvelles constructions modernes. Is abritent bien souvent des familles de réfugiés s'y abritant. |
---|---|---|
![]() DownTownAbimées pendant la guerre, les maisons traditionnelles du centre-ville, vestiges datant de la période ottomane, ont été totalement détruites (85 % des bâtiments du centre ville a été rasé) puis remplacées par des bâtiments inspirés par l'architecture occidentale. | ![]() Ramleh Al BaydaLe long de la côte, véritable riviera libanaise, des hotels cinq étoiles et appartements de luxe (bien souvent inhabités) ont été construits, augmentant considérablement le prix de l'immobilier et poussant les populations plus pauvres à quitter le centre-ville. | ![]() Tariq El JdidehNon loin des districts aisés de Verdun et Ain El Tineh, un quartier pauvre aux habitations sommaires abrite une population très dense, dont une grande partie est arrivée lors de la guerre. Les infrastructures comme ce stade de foot sont laissées à l'abandon et ne bénéficient d'aucune aide gouvernementale pour leur reconstruction. |
![]() Bourj HammoudQuartier arménien de Beyrouth-ouest. Construit sur un marais attribué par le gouvernement aux rescapés du génocide arménien, le quartier regroupe dorénavant plusieurs écoles, églises et commerces. Il a particulièrement souffert de la guerre civile de 2006, et peine encore à se reconstruire faute d'aide financière. | ![]() SabraLa rue de Sabra dans le Sud de la ville, et tristement connue pour le massacre qui y prit place en 1982, était un camp palestinien du Sud de Beyrouth. Le quartier est encore habité par des milliers de réfugiés palestiniens et syriens vivant dans des conditions particulièrement précaires. | ![]() Camp de Mar EliasUn portrait de Yasser Arafat dans le camp de réfugié palestinien de Mar Elias, à grande majorité chrétienne. Il est situé à seulement une quinzaine de minutes de marche de Verdun, l'un des plus riches quartier de la ville. Ces camps sont particulièrement touchés par les problèmes d'électricité qui touchent le pays, aussi les ruelles sont obstruées par les cables électriques tirés par les habitants et générateurs de fortune. |
![]() Port de BeyrouthLes docks, juxtaposés au Central District, sont parsemés de restaurant et café luxueux, auxquels s'attablent les riches touristes de passage et businessmen du quartier. | ![]() Port de BeyrouthDes touristes se prennent en photo devant le Yacht Club situé à proximité de Central District. Le quartier est encore en pleine evolution et voit naître de nouveaux chantiers en permanence. | ![]() El Moutran StreetLes commerces du centre-ville ont laissé place à des boutiques de luxe, très prisées des touristes en provenance de riches pays arabes tels que Dubai ou le Qatar, de plus en plus nombreux à Beyrouth. |
![]() Downtown BeirutDes libanais boivent un café en fumant le narguilé dans le quartier touristique et commercial du centre-ville. Auparavant se trouvait un souk traditionnel, remplacé dorénavant par un centre commercial moderne, regroupant des enseignes luxueuses et occidentales. | ![]() Camp de ShatilaUn jeune réfugié syrien dans le camp de réfugié de Chatila -originellement un camp palestinien- vends des légumes. De nombreux enfants syriens ou palestiniens ne sont pas scolarisés, et travaillent pour tenter de subvenir aux besoins de leur famille. | ![]() Ras BeirutLe long de la jetée, l'un des rares endroits du nouveau centre-ville où toutes les couches de la société libanaise se mélangent aux riches touristes de passage. Les rochers facilement accessibles sont des lieux idéaux pour observer le coucher du soleil, fumer le narguilé entre amis ou pêcher. |
bottom of page